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 Kazuki Shirogane [Fiche validée]

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Kazuki Shirogane [Fiche validée] _
MessageSujet: Kazuki Shirogane [Fiche validée]   Kazuki Shirogane [Fiche validée] EmptyDim 9 Oct - 15:31


Kazuki Shirogane


Identité
    Nom : Shirogane
    Prénom : Kazuki
    Âge : 25
    Taille : 1’76m
    Origine : Franco-japonais
    Emploi : Illustrateur
    Votre Appartement : [54] Studio

    Préférences : Sa passion pour les mangas et les fan fictions l’a poussé à devenir illustrateur de livre ou roman. Il aime la propreté, l’hygiène, la beauté, le doux parfum des fleurs, tout ce qui est adorable et les animaux que ce soit en peluche ou en image, marcher pied nu sur la moquette ou le tapis, prendre soin de ses cheveux, les bonbons acidulés.

    Désintérêts : Il a une sainte horreur de faire la poussière ou nettoyer les toilettes. La saleté le fait grimacer et la mauvaise odeur lui soulève le cœur. Il n’aime pas la violence, l’alcool, l’intolérance, les complications et les plat trop sucrés ou trop amère. On peut dire que le café n’est pas sa tasse de thé, toutefois il tolère le tiramisu.


Description physique Kazuki pourrait très bien se faire passer pour une belle femme si ce n’était pour sa voix masculine. Mesurant 1’76m pour 59kg, la nature l’a doté d’une peau douce et blanche, légèrement rosé, qui l’oblige à éviter de s’exposer trop longtemps au soleil en été sous peine de brulure. Une belle et longue chevelure blanche comme neige lui tombe jusqu’aux mollets qu’il attache en tresse ou en queue-de-cheval avec une attache dorée. Deux longues mèches encadrent un visage fin, accompagné par une frange sur le coté qui lui tombe sur les yeux. Ses beaux yeux bleus sont mis en valeur par de longs cils noirs et ses oreilles percées sont ornée par des boucles d’oreilles rouges de type puce qu’on lui a offert à son 10ème anniversaire. Pour ajouter une touche de couleur en plus à son visage, le jeune homme souligne ses lèvres à l’aide d’un baume à lèvres rose, rouge ou gris-bleu.

Pour ne pas se compliquer la vie avec la complexité du lavage de linge, Kazuki ne s’habille qu’en blanc pour tout ce qui concerne shirts, chemises et chaussettes, en noir pour le reste. Seul exception à la règle ses cravates sont toujours de couleur rouge qu’il peut facilement laver la main. Lorsqu’il sort, le jeune homme porte toujours des gants blancs, un chapeau noir, des chaussures noires avec un talon de 4 centimètres et son imperméable long noir qui souligne sa silhouette svelte et élégante.

Description psychologique L’eurasien aime les choses simple et essaye de les garder simple. Tout ce qui est compliqué l’ennuie, ce qui le pousse à faire une retraite stratégique. Ce qui le met mal à l’aise aussi. Calme, pacifique, n’aimant pas élevé la voix - tout le contraire de quand il était gamin – ce qui ne l’empêchera pas d’utiliser de la force qui se faire entendre.

Il pense s’être débarrassé totalement de sa naïveté. Cette disposition à croire trop facilement est à l’origine de beaucoup de ses problèmes depuis l’enfance tel que se questionner doublement sur les choses qui sont plus ou moins importantes.

Ou à être aveugle à toute personne qui montre un intérêt romantique à son égard. Et lorsqu’on le lui fait comprendre franchement à vive voix, il a une tendance à prendre la poudre d’escampette. Une réaction due au fait qu’il ne sait pas comment réagir.

Ou à être obsédé avec l’hygiène et la propreté puisque sans cette obsession, il aurait sans-hésité adopté un chaton ou…. tenté d’entrer en relation avec quelqu’un quelque soit son sexe.

Coté vie professionnelle, il aime la perfection dans son travail.

Histoire Né un 21 décembre dans une famille aisé d’une mère française, professeur de français et d’un père japonais, banquier, Shirogane Kazuki a grandit à Kyōto, au Japon. Son enfance était heureuse et était tout ce qu’il y a de plus normal. Comme tous les enfants de son âge, il croquait la vie à pleine dent. Il s’amusait à courir de droite à gauche, capturer les insectes, caresser tous les animaux qui lui tombaient sous la main, grimper aux arbres et n’hésiter pas à se salir ou à entrer dans une bagarre juste parce les autres enfants se moquaient de son apparence efféminé ou des yeux aux couleurs inhabituels d’un ami. Et étant fils unique, il était gâté et choyé par sa famille.

Cette vie insouciante changea petit à petit au fur et à mesure qu’il prenait conscience, comme tous les enfants, de la réalité de la vie par le biais des dessins animés ou des mangas. Un animé, cadeau de ses grands-parents maternels, l’avait particulièrement marqué. Un animé très éducative sur le corps humain. Trop éducative. La petite enfance était un âge où l’enfant était facilement influençable. Et apprendre que la moindre égratignure ou saleté pouvait vous faire attraper toute sorte de microbe et ce que ces microbes pouvaient causer… Certes, il existait des antibiotiques. Mais comme disait grand-mère, ‘Il vaut mieux prévenir que guérir’. Fini les jeux violents, bonjour l’Art et les sports plus douces. Les parents étaient surpris mais n‘en faisait pas un drame. Après tout, pratiquement tous les enfants japonais lisaient des mangas comme leur fils. La tolérance, le bien triomphait sur le mal etc.… Telle était la leçon de morale que ces livres leur apportaient. Il n’y avait pas de mal à le laisser continuer à les lire, pensaient-ils… du moins, jusqu’à ce qu’ils le voient venir à table avec le rouge à lèvre de maman gribouillé sur les lèvres au dîner. "C’est pour faire comme le vilain Tou-chan, c’est si joli sur lui" répondit Kazuki âgé de 10 ans avec les yeux plein d’étoiles lorsqu’on lui demanda pourquoi il avait joué avec le maquillage de sa Mama. ‘Un jour j’aurais aussi les cheveux aussi long que lui". Maman poussait un soupir, résignée de ne pas avoir de petit fils ou de petite fille dans un futur proche. Peut être un second enfant serait nécessaire. Papa, lui, pleurait sur le fait que son petit garçon perdait ce qui lui restait de virilité. Hélas pour eux, il était bien trop tard pour lui interdire ce qui était devenu sa lecture fétiche.

Comme tout bon ami qu’il était, Kazuki partageait ses joies et ses découvertes avec Ryū-chan qu’il entrainait souvent à l’extérieur pour jouer après les leçons de musique de celui-ci. Kurogane Ryūko était son voisin et son meilleur ami. Il était son parfaite opposition physique et mentale. Là où Kazuki était la vivacité même, Ryūko était d’un tempérament calme et réservé. En contraste avec le physique de Kazuki, Ryūko avait des cheveux noirs, des prunelles rouges et une préférence pour des tenues blanches.

Les années passaient, un petit frère nommé Hiroshi –Les parents espéraient qu’il sera plus viril que son ainé- avait été mis en monde et leurs tendances changeaient. Au lycée, Kazuki devenait plus calme. Il passait plus son temps au club d’Art et de Manga qu’au club de Sport. Les love-letters passaient de son casier à la poubelle, les chocolats de la Saint Valentin étaient la bienvenue et toutes déclarations d’amour qu’on lui adressait étaient éconduites maladroitement mais poliment. Il participait à la création d’un fanzine avec son Club de Manga et se faisait un peu d’argent en vendant ses œuvres dans les Comikets. Ryū-chan -Kurogane pour les autres-, lui, fréquentait le club de Tennis et les filles. Son temps libre était consacré à la bande de J-Rock ou J-Pop qu’il avait montait au collège. Kazuki assistait souvent aux répétitions ainsi qu’aux concerts qu’ils donnaient lors des fêtes de l’école. C’était à cette période qu’il avait opté pour des chaussures avec des talons de 4 ou 5 centimètres. Ce n’était certainement pas parce qu’il était jaloux que son meilleur ami le dépasser de taille ou parce qu’il trouvait agréable d’avoir une ou deux tête de plus que ses adorables Kouhais. Son Papa s’était remis à pleurer en voyant sa nouvelle paire de chaussure. Peut être pensait-il qu’il dépensait tout son argent du mois sur ces chaussures.

A la fin de leur étude, ils décidèrent de monter sur Tokyo et de cohabiter ensemble dans un appartement à Shibuya où ils pouvaient poursuivre les études à l’université des Arts de Tokyo et la profession de leur choix. Les parents Shirogane étaient rassurés de voir qu’il serait avec Ryūko-kun, un garçon très responsable et sérieux à leur yeux. Car ils doutaient que leur fils ainé pourrait survivre seul. La vie en cohabitation était difficile au début en raison de leur différence sur certains sujets domestiques. Finalement tout s’arrangea pour le meilleur du monde avec Kazuki au ménage et Ryūko à la cuisine. Apparemment Ryūko n’était pas trop top pour les nouilles instantanées ou du surgelé à tous les repas.

Le monde changeait, leur relation aussi. La journée avait si bien commencé. La bande que Ryūko avait menée au sommet venait de sortir un nouvel album. Pour fêter cela, il avait offert à l’Eurasien une paire de boucle d’oreille écarlate avant de l’emmener se faire percer les oreilles. Un repas dans un restaurant avec toute la bande puis le reste de la soirée dans une boite de nuit. L’alcool avait une tendance à délier les langues entre autres. L’humeur joyeuse de Kazuki s’écroula quand il reçut un baisé au gout d’alcool de la part de son ‘best friend’ alors qu’il l’aidait à rejoindre son lit.

Kami-sama, il l’avait embrassé ! Oh Kami ! Qui savait où l’autre avait laissé trainer ses lèvres !

La confession qui s’en suivit n’améliorait pas les choses. Tandis que le brun s’endormait sur son lit, Kazuki était toujours en état de choc.

Serait-il possible que la confession concernait un ou une autre Kazuki ? Kazuki était un prénom assez en vogue après tout.

Tel un zombi, Kazuki regagnait sa chambre et passait la nuit à ruminer sur ce qui s’était passé, comment y répondre, comment se comporter après cette… révélation inattendu. Ce n’est qu’à la lueur de l’aube qu’il se mit à bouger. Ses grands-parents maternels l’avaient invité à plusieurs reprises de venir les visiter à Paris, en France. Il était temps d’accepter leur invitation. Sa valise faite, il laissa une lettre assez courte sur la table.

‘Ryū-chan, j’ai besoin de vacance. Je t’enverrai un email pour te dire quand je reviendrai. Kazu.’

24 heures plus tard, Kazuki frappait à la porte de ses grands parents à la rue de la paix. Il fit connaissance avec la famille de sa mère, rencontrer ses oncles-tantes-cousins qui étaient surpris de l’entendre parler français sans trop d’accent. Ce n’était pas si difficile quand sa mère enseignait le français et ne lui parlait qu’en français quand il était petit. Ne voulant pas abuser trop longuement de l’hospitalité de ses grands-parents, il décida de se trouver un studio ou un petit appartement. Son cousin Eric qui avait entendu parler par l’ami d’un ami des appartements en location à la rue du gaie, déposa un dossier pour le Japonais. Un mois plus tard Kazuki se présenta au 69 rue du Gaie.




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Saeki Julietta

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