AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -50%
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
Voir le deal
69.99 €

Partagez | 
 

 Vincent Valentine [Fiche Validée]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité
Anonymous



Vincent Valentine [Fiche Validée] _
MessageSujet: Vincent Valentine [Fiche Validée]   Vincent Valentine [Fiche Validée] EmptyMer 21 Juil - 5:21

    ○ IDENTITÉ ○


    Nom : Valentine
    Prénom : Vincent
    Age : 27 ans
    Taille : 1m84
    Origine : italo scandinave
    Emplois : Artiste peintre et sculpteur par commodité, anciennement serial killer par plaisir, actuellement nettoyeur par conviction.
    Votre Appartement : [ ] Studio [ x ] Appartement (seul) [ ] Colocation

    Préférences : Il aime ce que les autres n’aiment généralement pas. Il aime les couleurs vives, les insectes, la musique, l’art et tout ce qui touche au domaine spirituel. Vincent a pour étrange habitude de préférer les aliments de couleur rouge. Il aime observer, disséquer, manipuler, contrôler, c’est un joueur. Il aime également les hommes aux cheveux longs et les créatures androgynes. Il possède une addiction au sang, dont il trouve la couleur rouge particulièrement fascinante. De même, les professions en rapport avec la dissection de l’esprit le fascine. Il considère les psychologues comme ses confrères meurtriers de l’âme elle-même.

    Désintérêts : Il n’a pas de grand intérêt pour tout ce qui est art cinématographique général, mais il apprécie tout de même quelques grands classiques. Il voue une animosité profonde à ses frères et sœurs, déteste les chiens et les châteaux. Les convenances de la société le fatigue. Il déteste être enfermé seul.

    ○ DESCRIPTION PHYSIQUE ○


    Vincent est grand, fin, mais musclé. Sa peau est pale et il a tendance à se refroidir vite. Il a souvent les mains glacées, aussi il préfère porter des gants. Depuis son enfance, il a toujours gardé une chevelure mi longue aussi noir que les ténèbres. Ses yeux sont d’un vert brillant et beaucoup trop expressif, il les dissimule souvent derrière des lentilles de contacts. En général il préfère ses lentilles carmines.

    Sur le plan vestimentaire :
    Il préfère généralement porter des vêtements pratiques, légers mais visuellement confortables. Son affection se porte essentiellement sur les chemises, les pantalons classiques, les bottes, les manteaux et les gants. Il n’aime pas s’exposer physiquement avec des inconnus et ne se dévêtit généralement que devant ses amants ou plus rarement ses proies. Dernièrement, il s’est prit d’affection pour les masques vénitiens.

    ○ DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE ○


    Vincent n’est pas réellement pudique, il n’aime tout simplement pas montrer son corps à n’importe qui. Après tout, son corps lui appartient et il est très possessif même envers lui-même. De plus bien qu’il montre généralement une face avenante, il n’a en vérité aucune sympathie envers ses interlocuteurs qu’il juge souvent stupide. Il aime autant la solitude que la compagnie de personne qu’il aura d’avance sélectionné. Vincent est un maniaque de la plus pure espèce, il peut laisser passer beaucoup de chose, mais rien de ce qu’il fait ne peut être bâclé. Tout ce doit d’être exécuté dans les moindres détails et à la perfection. Il n’a a proprement parler aucune moral réel, tout ce qui l’importe se rapporte a lui et a ses possessions. Ses possessions pouvant être aussi bien, un objet qu’un amant. Se sont d’ailleurs les seules choses dont il prend réellement soin. En résumé, Vincent est psychologiquement instable.

    ○ BIOGRAPHIE ○


    Vincent est le sixième enfant d’une vieille famille aux traditions plus que douteuses. Ses parents lui ont toujours apprit et ce depuis le berceau que seul le plus cruel survit. Et bien qu’il n’ait jamais manqué de rien sur le plan matérielle, il garde encore des séquelles de son enfance qu’il n’aime pas évoquer. Sa haine des chiens provient du chiot que ses parents lui avaient offert pour ses trois ans en lui faisant promettre de s’en occuper. Ayant oublié de le sortir une fois pour sa promenade, ses parents avait eu la bonté de mettre fin au calvaire du jeune chien et d’empailler sa carcasse pour le rendre a leur fils. Ainsi le chiot ne s’oubliât plus jamais sur le tapis du grand salon. Vincent ne pu plus jamais supporter la vue d’un chiot. De même, il déteste sa fratrie et leurs jeux….

    Adolescent, Vincent quitta la demeure familiale pour ne plus jamais y remettre les pieds. Cependant, le monde extérieur lui réserva encore bien des surprises et ses capacités d’adaptation furent mit a rude épreuve. Trop jeune pour un travail légal, il bascula très vite et se lança dans le meurtre. Sa réputation d’être sans état d’âme le fit très vite progresser au sein de ce milieu. Peu a peu il, prit goût a l’assassinat autant qu’il aimait a observer les humains. Son goût pour l’art et le travail bien fait le pousse au fur et a mesure à développer ses « œuvres » de manière a les rendre unique… Il aime généralement transformer son crime en conte de fée. Les contes de fée se finissant généralement mal. A cette époque il rencontre Lorenzo qui sera un temps son mentor. Ce dernier lui inculques les bonnes manières et les bonnes mœurs, même si Vincent ne s’est jamais servit de son enseignement que pour son propre profit. De même, il apprend l’art de la peinture et devient rapidement un peintre reconnu, ses tableaux évoques souvent d’ancien thème tel que la chevalerie et les légendes.

    Devenu un célèbre artiste, Vincent profitât de sa notoriété pour voyager et élargir sa zone d’influence. Les états unis lui permirent notamment de faire de nouvelles expériences. Il lui était facile de s’adapter et de gagner la confiance de tout à chacun. Le nombre de gens et de club s’intéressant au vampirisme marqua son mode opératoire dans cette région, chacune de ses proies semblait avoir été la victime d’un célèbre comte vampirique.
    Les années passant il attira l’intérêt de nombreux fans, mais aussi de profiler. Certains aimaient fantasmer sur le «vampire», les autres voulaient la gloire de l’arrestation. Peu réjouis par ces nouveaux spectateurs sans grand intérêt pour lui, Vincent s’apprêtait à changer d’air lorsqu’un jeune profiler attira son attention.

    L’homme était aussi minutieux que lui et beaucoup plus intéressant. Il remarquait certains détails que lui-même n’avait pas jugés important au départ. La partie devenait de plus en plus serrer et Vincent devait perfectionner chaque détail. Un véritable jeu d’échec, il voulait rencontrer son adversaire. Luche devenait sa propre addiction, sa possession, il se devait de le posséder corps et âme. Si son esprit était déjà tourné vers lui, il lui manquait encore le reste. Aussi Vincent mit en scène sa propre « mort », le peintre ayant eu le malheur de peindre une scène représentant un moment de la vie de Dracula, il s’était attirer les foudres du serial killer. Ce crime était adressé directement a Luche et le corps quasiment sans vie de Vincent fût retrouver au milieu d’une roseraie, le sang s’égouttant doucement de ses plaies. Le serial Killer devait remercier son profiler, le seul qui avait su comprendre ses indices à temps.
    Il se rétablissait lentement et restait étroitement surveillé par Luche. Après tout, il était la proie d’un psychopathe et il devait être protégé. Son sauveur était étonnement beau et serviable. Évidement, Luche avait besoins de lui en vie pour coincer le « vampire ». Aussi Vincent ne se gênait pas pour le courtiser et même le draguer ouvertement. Après tout Luche lui avait sauvé la vie ! N’ayant comme a son habitude aucun respect des conventions et des règles, il n’hésitait pas à laisser trainer ses mains sur la belle créature. Il le touchait, l’enlaçait, lui demandait même de poser nue pour une de ses œuvres d’art. Après tout en plus d’être son sauveur, Luche était sa nouvelle muse.

    Vincent fût comblé lorsqu’enfin Luche tomba dans ses griffes. Loin de se lasser de son nouveau jeu, il en devenait lentement, mais surement dépendant. Ses peintures devinrent moins morbides, mais plus sensuels. Il n’avait jamais assez du corps de son amant, et si ce n’était pas Luche qui réfrénait ses envies, ils auraient probablement choqués nombre de passant.
    Vincent avait trouvé un certain équilibre sa passion pour son amant avait calmé ses ardeurs criminelles. Cependant, Luche était toujours obséder par l’autre. Et bien qu’il en était flatté, il en éprouvait aussi une certaine jalousie. Il mit donc un terme a l’existence du serial killer lors d’une de ses expositions. Il était encore une fois la victime, mais cette fois ci, le criminel était mort.
    Enfin débarrasser de cette partie de sa vie, Vincent pouvait enfin profiter complètement de sa possession. Mais c’était sans compter sur Luche lui même. Peu à peu, il comprenait, les rouages de son cerveau assemblaient les pièces éparpillées. Aussi lorsque Luche lui annonça qu’il avait comprit qu’il était le tueur il ne pu que l’admettre. Cette nuit là, Luche l’avait laissé partir.

    Blasé, Vincent avait reprit son activité ailleurs. Le plaisir de contempler le liquide rouge n’était plus le même. La saveur de l’acte parfait n’était plus si savoureuse. Certes, cela lui procurait un moment de plaisir, mais il était bref, fugace, et ses nuits solitaires dans un lit froid le pesait. Il ne pouvait pas se détacher de sa possession, belle ironie.
    Luche lui appartenait, alors il le réclamerait et ce quelque soit le choix de sa muse. Vincent l’avait cherché, retrouvé et capturé, son précieux oiseau, son ange en cage. Il lui appartenait, il était sien et uniquement sien. Vincent était possessif, très possessif, et très fougueux marquant encore et inlassablement son amant de leurs étreintes. La valeur s de ses peintures s’étant envolée depuis son altercation avec un certain serial killer il n’avait aucun soucis d’argent. La majorité de son temps était dévoué à sa plus grande passion. Le reste lui servait à maintenir sa réputation, qu’elle soit bonne ou mauvaise.

    Évidement, le paradis ne pouvait pas accueillir éternellement un pécheur. Et alors qu’il rentrait simplement des courses, un carambolage failli lui couter la vie. Il resta quelques temps dans le coma.

    A son réveil, Luche était mort, et lui gardait des séquelles physiques de son accident. Une blessure disgracieuse marquait le coté gauche de son visage et sa peau portait des stigmates de brulures sur ses bras et ses jambes. En plus de la rééducation, Vincent du faire face a nombre d’opération de chirurgie. Il ne pouvait pas rester ainsi, Luche détestait la laideur et il était laid. Recherché, il avait du fuir, changer encore d’identité, aider par de vieux amis et de bons chirurgiens esthétiques qui ne posaient pas de question.

    Il n’avait jamais pu admettre la mort de Luche, il n’était pas mort. Luche était parti a cause de la laideur, alors il l’effacerait, il ne resterait aucune marque de son accident. Cependant, ce n’était pas si simple, même si sa peau avait retrouvé sa jolie apparence Luche n’était pas revenu.
    C’était donc que le monde n’était pas assez beau pour son oiseau, son ange. Il devait lui créer son paradis, et donc éliminer ce que Luche détestait, criminel après criminel. Il créait des scènes splendides, la laideur n’avait plus le droit de citée. Mais lui-même tentait de se racheter en faisant en sorte que chacun de ses crimes puisse profiter à une personne innocente. Cela pouvait être par l’argent que laissait sa proie, ou encore même par ses organes laisser a des gens qui en avaient le besoin.

    Dans le souci de se garder une bonne couverture, il s’était mit a la sculpture et travaillait actuellement sur une cage a oiseau de pierre, la cage de l’ange.
    Se rendant évidement compte qu’il ne pourrait pas nettoyer la planète si facilement il préféra commencer par un pays, celui d’origine de son oiseau, la France. La ville lumière devait après tout être nettoyée de toutes traces d’ombre.

    Cherchant un endroit accueillant et beau pour s’établir, il prit comme un signe le nom de la Rue du Gaie. Les habitants du numéro 69 semblaient fascinants par leur beauté. Un lieu pareil ne pouvait pas abriter le mal, aussi il décida que c’était l’endroit idéal pour sa nouvelle vie.
Revenir en haut Aller en bas
 

Vincent Valentine [Fiche Validée]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
69 rue du gaie :: AUTOUR DU RPG :: VOS PERSONNAGES :: Vos Descriptions :: Ceux qui ont déménagé-
Sauter vers: